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L’HYPERBARIE A-T-ELLE DES EFFETS A LONG TERME ?

L'HYPERBARIE A-T-ELLE DES EFFETS A LONG TERME SUR LA MEMOIRE ET L'ATTENTION ?

L’HYPERBARIE A-T-ELLE DES EFFETS A LONG TERME SUR LA MEMOIRE ET L’ATTENTION ?

Je suis tombé par hasard sur une étude Suisse sur la plongée et l’hyperbarie, c’est consternant ! Ca pue la connerie à plein tube ! Le fédéral Suisse qui a du trop cher payer cette étude à deux sous sur l’hyperbarie n’a pas l’air d’être bien meilleur que le nôtre !

CORRELATIONS ENTRE PERFORMANCES NEUROPSYCHOLOGIQUES ET IMAGERIE CEREBRALE FONCTIONNELLE

Thèse sur l’hyperbarie, Genève, 2005, 207 pages

Résumé de cette étude sur les effets de l’hyperbarie sur la mémoire

La plongée sous marine est devenu un sport populaire, mais connaît-on les risques encourus lors de sa pratique, en absence d’un accident de décompression ? Quelle est l’influence de l’hyperbarie sur le cerveau ?
Ce travail porte sur 200 plongeurs volontaires, n’ayant jamais eu d’accident de décompression. L’objectif est d’évaluer si leurs habitudes de plongée (mer ou lac, fréquence, nombre total, années de pratique) exercent une influence sur le fonctionnement cognitif et le débit sanguin cérébral (SPECT).

Les sujets ayant plus de 350 plongées, principalement en lac, montrent des perturbations dans les tâches d’attention et de flexibilité, ainsi qu’une diminution du débit cérébral global, ainsi que régional.
Les individus plongeant de manière active, profondément et en eau froide sont donc susceptibles de présenter, à long terme, un dysfonctionnement cognitif. Alors l’hyperbarie responsable ? Voir les commentaires avec plus de détails.

Cependant, à ce jour, en absence d’accident de décompression, la majorité des plongeurs n’est pas handicapée dans leurs activités de la vie quotidienne. (dixit la thèse) Pourtant pourquoi ne pas avoir contacté les différents hôpitaux aynat des caissons hyperbares et spécialiste de l’hyperbarie, pour corréler cette étude ? Ils devraient avoir de la data eux ? Non ?

Bref la Suisse qui a écrit cette bétise sur l’hyperbarie n’y connait rien et il n’a pas du manger que du chocolat ! Celui là il doit vivre au sommet de sa montagne fumer des herbes que lui seul connait, et distiller des trucs spéciaux. Je me demande bien qui est le plus intelligent des deux, un footballeur ou un plongeur ? Faut quand même quelques connaissances en physique et physiologie pour pratiquer la plongée tech, tandis qu’un footballeur ? Faut surtout qu’il soit callé en croche pied, simulation, ou autre crétinisme.

2 réflexions au sujet de « L’HYPERBARIE A-T-ELLE DES EFFETS A LONG TERME ? »

  1. Commentaire fort intéressant.
    Hormis les grossières fautes d’orthographe, il laisse quelques questions ouvertes. L’auteur de ces lignes stigmatisant une étude « consternante », est-il au moins au courant de ce qu’est la méthode scientifique définie par Claude Bernard. A-t-il jamais entendu parler de ce qui se cache sous les termes de « falsification selon Popper »?
    Avant de maladroitement tenter de s’en prendre à d es concepts que l’on n’est pas capable d’appréhender, on prend la peine de lire l’ensemble du dossier, et, si possible, de le comprendre. Ce qui ne fut manifestement pas le cas.
    S’attaquer à une théorie demande de la réflexion et des arguments et de la méthode. Pas simplement un dénigrement basique et stupide.

  2. Cher Docteur M,

    Je suis désolé pour l’ortografe je n’y peux rien c’est ma marque de fabrique, pourtant je lit, tiens là par exemple avec un t c’est mieux il est 17h, c’est l’heure du T. :'( En effet je confirme que je n’ai pas lu la these jusqu’au bout, au début, et je me suis empressé même de l’oublier, avant ensuite de m’y replonger. cette These reste un travail de mémoire de doctorat sur une faible échelle qui statistiquement n’est l’image de pas grand chose. Cette thèse est disponible ici.

    Cher Docteur M, permettez que je vous appelle comme cela car vous n’avez pas daigné vous présenter ce qui ne se fait pas entre gens bien élevés. je suis désolé de ne pas avoir remarqué votre commentaire plus tôt, notre blog étant basic pour le moment, faute de moyen, nous n’avons pas encore tous les systèmes de rappel automatique.

    Certes ma réaction ne vous plait pas car elle est sincère et mon raisonnement basé sur sur des faits pratiques et éprouvés et on ne peut pas en dire autant de cette théorie basée sur trop peu d’éléments ommettant certains parametres fondammentaux à mon sens pour être valide, ce qui chagrine votre esprit de « psy ».

    Bien que posant très bien la problématique de la plongée, en préambule, toutes les lois fondamentales y sont bien renseignées, les rappels sur la narcose, l’hyperoxie, les gaz ternaires, et l’hypothermie, elle élude complètement ces paramètres dans son étude.

    L’auteur de cette théorie sous le couvert d’étudier les effets de l’hyperbarie s’est concentré sur l’étude du cerveau, et l’utilisation des techniques modernes d’imageries, son futur métier, elle l’avoue à demi mot.

    A la page 40, elles citent même différentes précédentes études qui justement n’ont rien pu prouver.

    Afin d’analyser les différences entre plongeurs, l’auteur oppose les plongeurs en eau froide à ceux en eau chaude. Une analyse des plongées montre que les plongeurs lac plongent le double que les autres, pour une moyenne de 44′ contre 34′ et plus profond. Pouvons nous en déduire que ce sont principalement des plongeurs air en humide ? (constatations personnelles pour des temps aussi courts).

    On ne sait donc pas si ce sont des plongeurs à l’air évoluant en combinaison humide ou étanche. A aucun moment, ne sont pris en compte les paramètres hyperoxie (excès PPO2 attaquant le système nerveux) la narcose (excès PPN2) et l’hypothermie (ralentissant le débit sanguin), cette étude est donc tronquée.

    L’auteur va même jusqu’à reconnaître elle même dans ses conclusions : « que le plongeur lac serait par nature un compétiteur passionné répondant trop vite se trompant plus souvent que le plongeur mer plus contemplatif et posé, risquant de fausser les résultats de son étude » de plus elle même reconnaît le manque de résultat significatif.

    Il aurait fallu s’adresser à des gens d’expériences ayant l’habitude de l’hyperbarisme,ayant des moyens, et ayant déjà fait des études, et leur apporter ces moyens d’imageries cérébrales et IRM telle la COMEX par exemple.

    Un adage populaire dit « parti de rien je suis arrivé nul part »

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