Publié le 4 commentaires

Liban plongée épave Marseille

Épave du liban, une belle plongée aux Pharillon à Marseille

Epave Liban ile maire Marseille
Epave Liban ile maire Marseille

Plongée sur l’épave du Liban à Marseille

On a plongée l’épave du Liban que je n’avais jamais faite… j’ai compris pourquoi (je ne l’avais jamais plongée…). L’épave est échouée à l’extrémitée sud de l‘ile Maire. Ce jour là la mer était forte, même à l’abris nous avons eu droit à une houle de 1.5 m. Lors de la première plongée dessus je n’avais pas trouvé beaucoup d’intérêt pour cette épave du Liban, dont  nous n’avons pas plus vu que les deux chaudières à cause de la mauvaise visi. A moins que je n’ai pas su trouver le reste de l’épave ? Il faudrait éventuellement que je me fasse accompagner la prochaine fois par un plongeur habitué du site et de la plongée à Marseille. La partie la plus intéressante reste sans doute le retour avec le passage sous l’arche de l’ile, avec une belle lumière bleu en arrière plan et de la vie avec des bancs de poissons. L’épave, ou tout du moins ce qu’il en reste se situe dans la zone des 30 mètres de profondeur.

L’épave du liban ce n’est pas à proprement parlé de la plongée Tek à Marseille.

Epave Liban plongée Marseille
Epave Liban plongée Marseille (c) memoire de plongeur

En fait le Liban est un site de plongée de repli pour nous, en cas de gros temps. On se met à l’eau protégé par l’ile Maire et on passe en dessous d’une arche à 16 mètres pour arriver sur l’épave. Il y a aussi une faille dans la roche, ou l’on peut passer. Elle se situe juste avant mais à six mètres. Mais néanmoins, de l’autre coté, la mer, elle tape elle, et elle brasse le fond quand même, donc la visi n’a jamais été vraiment top pour nous.

Sauf cet été, ou on la plongée un peu plus tard dans l’après-midi et nous avons bénéficié d’un bel éclairage. Donc Yann, Patrick sa femme et moi nous nous sommes régalés en recycleur dessus. Nous avons eu le temps d’en faire le tour. Bon ok la Miss a eu froid… et il a fallu que je m’en retourne, donc une fois de plus je n’ai pas tout fais. En fait … l’épave est grande et il y a matière à visiter. Donc la conclusion, il faut bien sûr que j’y retourne encore deux ou trois fois afin de passer partout et de ramener des images.

Localisation de l’épave du Liban

Carte des épaves de Marseille
Carte des épaves de Marseille

L’épave se situe derrière l’ile Maire à Marseille sur un fond de 35 mètres, pas très loin du cap Croisette. L’épave n’est pas trop loin du Ker Bihan, ni de la Drôme. Par contre assez éloigné de l’ile du Planier et ses épaves. De toute façon il y en a tellement.

Histoire du nauffrage du Liban

Naufrage épave Liban
Naufrage épave Liban

Le 17 juin 1903, le Liban quite le port de Marseille en direction de Bastia en Corse. Le paquebot est éperonné à tribord avant par l’Insulaire, qui revient de  Toulon avec quarantes passagers à bord. Il s’apprétait à rentrer dans la rade de Marseille, à proximité de l’île Maïre. Le Liban a essayé de s’échouer entre les deux blocs rocheux au sud de l’île. Ce naufrage a causé la mort de près d’une centaine de passagers.

Les pêcheurs du port des Goudes, organisent les secours à bord de leur barques, aidé par un navire en partance pour la Grèce, le Balkan, et au Rakocsy, un vapeur hongrois qui devait rejoindre l’Italie. Le Liban coule par l’avant. Comble de malchance, cinq des six canots de sauvetage ne sont pas mis à l’eau, les bossoirs sont en trop mauvais état. Le Liban coule en 20 minutes seulement.

Vidéo de plongée sur l’épave du liban Marseille

Ci après une vidéo d’une plongée sur le Liban, même si ce n’est pas la nôtre ! 😉

Publié le Laisser un commentaire

KLEBER épave de bateau Fos sur Mer

Paquebot Kléber ex Ville d'Alger

LE KLÉBER Epave de bateau à Fos sur Mer

L’épave du Paquebot de 1606 tonnaux lancé en Juillet 1880, repose à 12 mètres de fond au large du They de l’Eugène au large de Fos sur Mer et Port de Bouc. Le paquebot a sombré suite à la rupture d’une drisse du gouvernail, le commandant est mort noyé.

Le Paquebot le Kléber

Paquebot à hélice, en fer, à une cheminée, le Kléber fut lancé aux chantiers Caird & Co de Greenoch pour le compte de la Compagnie Générale Transatlanthique.
Ses 1800 CV lui donnait une vitesse de 13,5 nœud.
Faisant partie d’une série de 12 navires commandés par cette même compagnie il fut utilisé dans des chantiers anglais afin de desservir les lignes de Marseille à l’Afrique du Nord.
Ses sisters-ships ( bateau identique car de même caractéristiques, même taille, même classe ) étaient Abd-el-Kader, St Augutin, Charles Quint, Isaac Pereire, Moïse et la série des Villes de : Bône, Barcelone, Madrid, Oran, Naples, Rome. A l’origine le Kléber s’appelait d’ailleurs le Ville d’Alger, mais il changea de nom sur cale.

Paquebot Kléber ex Ville d'Alger
Paquebot Kléber ex Ville d’Alger

L’histoire du nauffrage du Kleber

Tout commence le 21 août 1880, le Kléber est en essai.
Le 24 août 1880, le paquebot effectue son voyage inaugural sur Alger puis, il est affecté aux lignes d’Afrique du Nord.
Le 9 septembre 1881, il participe à l’expédition de Tunisie. Le Kléber quitte Toulon avec à son bord, 15000 hommes. Protégé par deux navires de guerre il fait route accompagné de l’Ajaccio.
Le lendemain aux alentours de 18h, Le Kléber et L’Ajaccio débarquent leurs troupes à Sousse.
Le 16 décembre 1901, Le Kléber quitte Sète pour se dirigé vers Port-Saint-Louis-du-Rhône chargé de 250 tonnes de marchandises. La dernière étape est d’embarquer 200 tonnes de chaux pour l’Algérie. La météo prend alors une mauvaise tournure, le temps est brumeux et la mer est mauvaise. Rupture d’une drisse du gouvernail, le navire est désemparé.
Une barre de fortune, établie par le lieutenant de quart, ne peut être maîtrisée par quatre marins qui sont bousculés à chaque lames. L’ordre donné est de mouiller l’ancre, par 40 mètre de fond.
Le Kléber chasse aussitôt, et vient à la terre, près de l’embouchure du Rhône. L’équipage arrive à s’en sortir. Tous, sauf le maître d’équipage, emporté par une lame. A Marseille les secours sont envoyés. Le naufrage vient à faire une seconde victime, le commandant.
Désirant revenir sur Le Kléber pour y récupérer quelques objets, il s’embarque sur un canot accompagné de quatre hommes Une lame renverse le paquebot, un canot de sauvetage du Danemark parviens à sauver les marins mais retrouve le commandant noyé.

Paquebot Kléber ex Ville d'Alger
Paquebot Kléber ex Ville d’Alger

La localisation de l’épave

Presque coupé en deux, le navire ne fut jamais renfloué. Le prix de la vente fut de 12 500 francs.
L’épave du Kléber se situe au large du They de L’Eugène.

L’épave du Kléber

Site très connu des chasseurs sous-marins, son étendue facilite son repérage.
Cependant l’inconvénient principal est la visibilité. L’étrave, par onze mètre de fond, est orienté vers le nord, légèrement est, les tôles s’étalent sur un sable vaseux dense et leur enchevêtrement est tel qu’on a du mal les grands pans de cloison. Les ancres des bateaux de pêche sont piégés par un fragment de mat. On distingue tout de même un écubier, des cales et leurs panneaux. Des parties sont bien visibles tel que les chaudières, les machines et l’arbre d’hélice, gigantesque avec ses paliers.
L’épave du Kléber dépasse le niveau du sédiment de trois mètres au maximum, son point culminant se situe au niveau des chaudières.

Publié le Laisser un commentaire

Epave le Mona à Six Fours les Plages

Epave remorqueur Mona

Epave le Mona à Six-Fours-Les-Plages

L’histoire de l’épave de la Mona

Le Mona était un remorqueur de plage et son épave gît sur un fond de 34 mètres en Face du Brusc et des Embiez. Ce remorqueur a été construit en 1949. Il a coulé une première fois dans le port puis a été renfloué pour être démantelé à Toulon, mais fut ensuite coulé en face de la plage du trou de l’or.
Remorqueur de port construit en 1949, ce petit bâtiment demeura longtemps comme stationnaire au port du Brusc, côte à côte avec l’Armoise. Mona est le nom de l’île située entre Haïti et Porto-Rico.
Mona ne remplissait que des tâches portuaires, avant de stationner indéfiniment dans le port du Brusc. Son état de vétusté fut tel qu’il y coula un jour, discrètement.

On le renfloua car il gênait, et il partit pour la démolition à Toulon. Sur le chemin, la meilleure des destinées lui fut enfin accordée: l’engloutissement au large de la plage du Trou de l’Or.

La localisation de l’épave

L’épave de Mona se trouve entre la pointe de la Gardiole et les Pierres-Tombées, par 34 m de profondeur. Coordonnées GPS en WGS 84: 43° 03,526 N et 05°48,590 E.

Plongée sur le Mona

La plongée sur épave ici n’a rien de très difficile. L’épave du Mona donne un bon écho au sondeur malgré sa petite taille. Le petit remorqueur est droit sur sa quille, en excel­lent état. Son hélice et ses superstructures ont disparu mais l’ensemble a fière allure: une barre (en fer) merveil­leuse, recouverte de fragiles salmacines, dans une petite cabine, un compartiment moteur intact, dans lequel on peut pénétrer, un pont libre et presque net, des concrétions « juste ce qu’il faut », une étrave dominant le sol de 4 à 5 m.

Leau est claire, le fond de sable coquillier blanc. Seule ombre: le site est très exposé au ponant, à peine moins au mistral et au vent d’est.

Publié le Laisser un commentaire

Epave le Gapeau à Six-Fours-les-Plages

Epave du remorqueur le Gapeau à Six-Fours-les-Plages

Le Gapeau épave de remorqueur

Epave le Gapeau
Epave le Gapeau (c) Marius Bar

L’épave du Gapeau est un remorqueur posé sur un fond de sable à 71 mètres au large des Embiez. L’épave est posé sur fond droit sur sa quille, au large de la passe du Gaou au Brusc. Le Gapeau était un remorqueur. Son épave gît par 71 mètres de fond au large du Brusc et des Embiez. L’épave se trouve dans une zone militaire interdite et donc implongeable à moins qu’on ne veuille se retrouver avec le bracellets. L’épave est bien posée sur le fond.

Coordonées GPS de l’épave du Gapeau

Les coordonées de l’épave du Gapeau sont les suivantes : 43° 03.335 N et 5° 47.487 E (Europe 50)

Histoire de l’épave du Gapeau

L’épave du Gapeau a été reconu grâce à son nom inscrit sur la poupe de l’épave et sur la cloche. Le Gapeau petit remorqueur porte le nom du petit fleuve qui se jette à la mer à coté de la ville d’Hyères. Ce petit remorqueur possèdait une immense cheminée avec une structure en bois. Le 3 Mars 1925, le cargo le Gapeau remorque le chaland le Veinard quand il est abordé par le cargo Phocée. Heureusement, il n’y aura qu’un blessé dans l’histoire. Il n’y a pas de photos du remorqueur le Gapeau, celles mentionnées dans les livres de MM Joncheray « 100 épaves en Côte d’Azur » et de Marius Bar « Naufrages en Provence » ne sont que des illustrations ou des photos de remorqueurs de la même génération.

Plongée sur épave du Gapeau

Epave Gapeau plongée cote d'azur
Epave Gapeau plongée cote d’azur (c) Tybo

Le beau petit remorqueur Gapeau, a perdu sa belle cheminée depuis le temps, pointée droite vers la surface à plus de 10 mètres du fond. Le Gapeau reste pourtant en très bon état comme l’atteste la photo de l’épave qu’en a faite Tybo lors de sa plongée sur l’épave. L’épave reste peu plongée. Le pont est à 65 mètres. L’hélise est à 70 mètres. Les machineries, les treuils sont visibles à travers les panneaux ouverts. Le Gapeau était équipé pour la vie à Bord avec des toilettes et une cuisine.

La cheminée gît maintenant à coté de l’épave.

Vidéo de plongée sur l’épave du Gapeau

Tybo a déjà plongée l’épave et en a fait des images

Publié le Laisser un commentaire

Epave du Marisalva à Six-fours-les-Plages

Epave du Marisalva à Six-fours-les-Plages crédit photo wrecked site

L’autre naufrage du 26 novembre 1965 : le Marisalva

L‘épave du Marisalva était un vieux caboteur italien de 50 mètres de long, 8 mètres de large et jaugeant 700 tonneaux, chargé de 690 tonnes de marbre portugais à destination de Carrare a coulé le 26 Novembre 1965 dans une tempête en s’échouant à 600 mètres des Embiez.

Encore une épave toute proche de celle de la Marie aux Embiez à Six Fours les plages. La cote d’Azur, la Provence et la région des Embiez regorge d’épaves. Le Marisalva était un vieux caboteur lancé en 1919 du port de Naples et mesurait 50 mètres de long, 8 mètres de large et jaugeait 700 tonneaux.

Le Marisalva fut construit par J.T. Wilmink & Co, il s’est nommé successivement Signemin, Nystrand, Tron, Sigurd Horn, Sigurd, Nord, Björnö et enfin Marisalva en novembre 1955 lorsque Salvatore Tandurella, de Torre del Greco en fit l’acquisition.

L’image illustrant cet article provient du site wrecked.eu alors que le caboteur s’appellait encore Nystrand et en train de charger au port.

Depuis 1964, son propriétaire et aussi commandant était Salvatore Schiano di Cola. Le 26 Novembre 1965, le batiment est en pleine tempête, dans une mer impossible. L’équipage de 8 hommes, ne peut plus le diriger. Le Marisalva s’échoue sur bâbord, à six cents mètres des Embiez.

Avec le navire, 690 tonnes de marbre portugais embarqué à Lisbonne le vingt du mois, à destination de carrare, sont englouties.

Publié le Laisser un commentaire

Epave de Barge au large de Sanary

Hé non ceci n'est pas la photo de l'épave de la barge de Sanary c'est juste une image de barge

Epave de la barge de Sanary

L’épave de la barge se trouve à 52 mètres de profondeur dans la baie de Sanary au large de Bandol, Sanary Le Brusc et des Embiez sur la Côte d’Azur. Aucun intérêt pour cette barge sans relief ni moteur. Le fond est à 58 mètres de profondeur. l’épave de la barge est rectangulaire avec un extrémitée arrondie. Elle ne possède pas de moteur et devait juste servir de remorque. La barge est vide sans rien à l’intérieur.

Hé non ceci n’est pas la photo de l’épave de la barge de Sanary c’est juste une image de barge

Une plongée sur épave sans grand intérêt est possible, par 58 m de profondeur, sur une barge de forme générale rectan­gulaire, mais avec une extré­mité arrondie, non motorisée, sans aucune superstructure. Le fond du petit bâtiment
est cloisonné, les parois verti­cales. Il n’y a rien à l’intérieur, hormis un bloc métallique indéterminé. Quelques câbles d’amarrage sont encore fixés à la coque.
Le relief ne dépasse pas le mètre.

 

Publié le Laisser un commentaire

Fortier épave de chalutier et voilier à la Ciotat

Epave de Chalutier Le Fortier à La Ciotat

Le Fortier et un voilier épaves à La Ciotat

Le Fortier est une épave de Chalutier d’une douzaine de mètres et le voilier à ses cotés un quillard à la Ciotat. Ils reposent à la pointe du Liouquet sur un fond de 34 mètres. Le Chalutier a été démantelé avant d’être coulé, mais on ne sait rien du voilier.
Il ne reste pas grand chose de l’épave si ce n’est quelques morceaux de la proue en bois particulièrement dur. Il reste le gouvernail en Acier, mais plus d’hélice.
On peut y voir deux bouteilles d’air comprimé. Un peu plus loin presque plus rien du Voilier.

Le Fortier et un voilier Naufragé inconnu

Nous sommes au large de la pointe du Liouquet, dans les eaux de la Ciotat par 34 mètre de profondeur. Sur un fond plat, gisent 2 épaves séparées d’une distance de 15 mètres.
– Un chalutier d’une douzaine de mètres que les plongeurs appellent « Le Fortier ». Peut-être est-ce simplement son nom ou lui a-t-on donné celui d’un petit cap proche. Il était propulsé par un moteur Baudouin à démarrage par air comprimé.
– Un voilier quillard bien plus petit qui était propulsé par un moteur à essence à quatre cylindres et à l’identité inconnue.

L’Histoire de l’épave du Fortier

La carrière de ces bateaux et la circonstance de leur naufrage sont inconnues. On sait seulement que le chalutier a été intentionnellement dépecé avant abordage. En ce qui concerne le voilier, aucune information ne permet de reconstituer sa perte.

La plongée sur l’épave du Fortier

La plongée sur épave : Le Fortier est penché sur tribord, massif et très délabré. Son bordé a disparu sauf dans les fonds. Curieusement, la proue et les membrures d’un bois partiellement résistant, ont bien supporté les années d’immersion et dessine même un squelette assez structuré. Le tableau arrière est encore entier et surplombe un gouvernail rectangulaire en fer. Vous pourrez voire un gros congre qui à niché sous l’étambot et une paire de bouteille d’air comprimé encore solidarisées, et munies chacune de son manomètre.

Elle est posée sur les restes du bâtiment.
Les réservoirs et des tôles sans formes ont basculé vers l’extérieur.

A portée de vue, si l’eau est claire apparaît à l’arrière de la première épave, la poupe de la seconde épave : le voilier. Dont il ne reste plus grand-chose à pars une hélice tripale, un arbre passant dans un étambot vermoulus et un moteur à essence sur lequel on distingue quatre bougies. Sa quille est à plat sur le sable et de nombreuses planches de bordé détachées de la membrure, s’écartent du bateau. Il n’y a plus de pont, ni de structures.

Publié le Laisser un commentaire

Epave Rubis plongée Cavalaire

Petite plongée d’exploration de l’épave du sous marin Rubis à Cavalaire

Après la première semaine d’Aout réservé au stage avec Aldo, la deuxième fut celle réservé à « faire des heures » avant la troisième réservée aux plongées profondes. Cette plongee tranquille avec philippe sur l’épave du rubis à Cavalaire lui a permi de faire de belles images. On a plongé avec quelques circuit ouvert, j’en ai profité pour pénétrer cette belle épave et rentrer par le kioske.

Une des plus belle épave de la baie de cavalaire : le Rubis